"Le Horla" de Maupassant
Titre : Le Horla
Auteur : Guy de Maupassant
Maison d'édition: folio classique
Genre: peur, folie, angoisse, littérature, science-fiction
Date de sortie:1886
Prix: 2,50 (gratuit sur internet)
Nombre de pages: 45
Ma note: ⭐⭐⭐⭐⭐
Résumé :
Dans un journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles . Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla. Il va sombrer peu à peu dans une folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel. Le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.
Mon avis :
Je suis tombée amoureuse de cette histoire! Pourquoi ne l'ai-je pas lu avant!? J'ai eu des frissons et autant vous dire que quand j'ai des frissons en lisant un livre c'est vraiment qu'il est TRÈS TRÈS TRÈS bien! Je n'ai rien d'autre à vous dire et puis qui suis-je pour juger une nouvelle que Maupassant lui même a écrit?
L'auteur :
Nationalité : France
Né(e) à : Tourville-sur-Arques, Fécamp , le 05/08/1850
Mort(e) à : Paris , le 06/07/1893
Né(e) à : Tourville-sur-Arques, Fécamp , le 05/08/1850
Mort(e) à : Paris , le 06/07/1893
Il travaille à Paris comme fonctionnaire au Ministère de la Marine pendant près de dix ans, puis au Ministère de l’Instruction publique. Il se consacre pleinement à l’écriture en 1880. C'est cette même année qu'il reçoit la reconnaissance du public. Il est introduit dans les milieux littéraires par Flaubert qui le considère comme son fils spirituel.
Dans les dernières années de sa vie, Maupassant est atteint de troubles nerveux dus à la syphilis. Son aversion progressive pour la société, qui croît à mesure que sa paranoïa augmente, le conduit à vivre reclus. Dépressif, physiquement diminué et sombrant peu à peu dans la folie, il décède à l’âge de 43 ans.
Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont "Une vie" (1883), "Bel-Ami" (1885), "Pierre et Jean" (1887-1888, avec sa célèbre préface dans laquelle il expose sa vision du roman naturaliste et critique le genre de l’étude psychologique), et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme "Boule de suif" (1880), les "Contes de la bécasse" (1883) ou "Le Horla" (1887).
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